Jean-Pierre Douillet fait Commandeur
dans l'Ordre national du Mérite
Samedi 16 novembre, Jean-Pierre Douillet, maire-adjoint honoraire, président de l'Espace Daniel-Sorano à Vincennes, a reçu de Rémy Dhuicque, ancien maire-adjoint de Vincennes, les insignes de Commandeur dans l'Ordre national du Mérite en présence de nombreuses personnalités dont Laurent Lafon, conseiller régional d’Ile-de-France, maire de Vincennes, et des adjoints au maire, Olivier Zang, président de la Section du Val de Marne de l'Association Nationale des Membres de l'Ordre National du Mérite, du Docteur Jean-Claude Martin, président du Comité de Vincennes/Fontenay-sous-Bois de la Société des Membres de la Légion d’Honneur.
Dans son intervention, Rémy Dhuicque a brossé comme il se doit un rapide portrait du récipiendaire, «un homme qui ne craint pas le travail», «que les obligations et les contraintes ne rebutent pas» et que «le poids des responsabilités ne fait pas plier outre mesure».
Après avoir évoqué le parcours professionnel exemplaire notamment dans le domaine de l’apprentissage de Jean-Pierre Douillet qui lui ont déjà valu de recevoir les insignes d’Officier du Mérite en 1998, ceux de chevalier de la Légion d’honneur en 2006, et les Palmes académiques en 2003.
Rémy Dhuicque a détaillé l’action de Jean-Pierre Douillet dans le domaine culturel. «Vous avez été maire-adjoint chargé de la Culture pendant 18 ans, jusqu’en 2001. Cela doit être un record. Depuis, vous avez la présidence de l’Espace Daniel-Sorano, bien connu et apprécié à Vincennes».
Après avoir reçu officiellement les insignes de Commandeur dans l’Ordre national du Mérite, Jean-Pierre Douillet : «C’est l’occasion pour moi d’honorer la mémoire de celui qui a été mon parrain des deux premiers grades du Mérite ; je veux parler de Jean Clouet de qui j’ai reçu mes premières leçons d’élu au service de la collectivité».
Puis, il est revenu sur «le sens» de son action.
«Rémy Dhuicque a rappelé très justement l’importance de mes racines chrétiennes et son corollaire la foi en l’homme et en son devenir. C’est le fondement de ma vie dans toutes ses dimensions, privés ou public, ce qui lui donne du sens.
Quant aux piliers sur lesquelles je m’appuie je leur donnerai la forme de 4 verbes : Servir, Rassembler, Ecouter et Faire-vivre. Chacun de ces verbes exprime un idéal, une ligne d’action, ce vers quoi je tends ; je ne prétends pas les avoir toujours parfaitement suivis mais ils sont sans conteste le soubassement de mon action».